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Date de création :
16.01.2010
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18.02.2010
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Le dimanche 1er janvier 1804, l'île de Saint-Domingue devient indépendante au terme d'une longue et meurtrièreguerre de libération.
L'ancienne colonie française devient le premier État noir des Temps modernes et le deuxième État indépendant des Amériques (après lesÉtats-Unis). Elle adopte pour l'occasion le nom que lui donnaient les IndiensTaïnos avant l'arrivée deChristophe Colomb : Haïti.
C'est seulement à partir de 1825 que son indépendance sera reconnue par la France et d'autres nations dites civilisées.
Toussaint Louverture, le héros de la guerre de libération, ayant été fait prisonnier par traîtrise et envoyé au fort de Joux, dans le Jura français, c'est l'un de ses lieutenants, un ancien esclave noir du nom de Jean-Jacques Dessalines, qui prend le pays en main.
L'indépendance est proclamée sur la place d'armes des Gonaïves, en présence d'une immense foule en costumes chatoyants.
Dans la foulée, Jean-Jacques Dessalines reçoit de ses lieutenants le titre de gouverneur général à vie que portait Toussaint Louverture avant sa capture. Quelques mois plus tard, le 22 septembre 1804, il se désigne empereur sous le nom de Jacques 1er mais son gouvernement dégénère en une épouvantable tyrannie.
Il fait périr les derniers Blancs restés sur l'île et suscite contre lui la rébellion de ses anciens lieutenants. Dans un ultime sursaut, il projette de nationaliser les terres et de les répartir entre tous les citoyens ! Il est tué dans une embuscade le 17 octobre 1806.
La partie orientale de l'île est quant à elle récupérée par l'Espagne en 1814... mais pour très peu de temps.
Christophe devient le roi Henri 1er en 1811 avant d'être contraint au suicide en 1820.
Il reste de lui les ruines émouvantes du palais de Sans-Souci, construit de 1806 à 1813, pillé à sa mort et détruit par un tremblement de terre en 1842.
Pétion préfère quant à lui les formes républicaines et le titre de président. Fils d'un riche planteur et d'une mulâtresse, il a combattu Toussaint Louverture dans l'armée du général Leclerc avec le grade de colonel avant de se rallier au chef insurgé. Il apporte son aide à Simon Bolívar qui, sur le continent latino-américain, mène la guerre contre la domination espagnole.
À sa mort, le 29 mars 1818, un autre mulâtre lui succède à la tête de la république. C'est Jean-Pierre Boyer. Il va gouverner la république haïtienne pendant un quart de siècle, jusqu' à sa chute en 1843.
le territoire de la République d'Haïti est principalement constitué du tiers occidental de l'île d'Hispaniola que l'on nomme également « Grande terre », à laquelle vient s'ajouter un certain nombre d'autres îles et archipels tel que : La Gonave, l'Île de la Tortue, Les Cayemites ou l'Île-à-Vache.
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La frontière terrestre [modifier]
La frontière entre la République d'Haïti et la République Dominicaine est ainsi fixée par les derniers accords :
La République d'Haïti a une superficie de 27 700 kilomètres carrées.
Les montagnes [modifier]
Comme pour l'île entière, le relief de la République d'Haïti est formé de deux bandes montagneuses principales : l'une au Nord, l'autre au Sud.
Les montagnes du Nord comprennent:
Les montagnes du Sud se composent du massif de la Selle et de celui de la Hotte. Le versant Nord du massif de la Selle comprend :
Le versant Sud du Massif de la Selle comprend :
Le massif de la Hotte comprend :
Les plaines [modifier]
Les plaines sont nombreuses en Haïti et sont pour la plupart des plaines côtières.
Des montagnes du Nord dépendent :
La plaine du Cul-de-Sac sépare les deux bandes montagneuses du Nord et du Sud.
Aux montagnes du Sud se rattachent :
• Bien que l'île soit située dans une zone de fracture, Haïti n'avait, jusqu'ici, pas connu de tremblement de terre aussi puissant depuis le 7 mai 1842, date à laquelle un séisme de magnétude 8,1 sur léchelle de Richter avait détruit Cap-Haïtien, la deuxième ville touristique du pays (nord).
Par la suite, deux autres tremblements notables avaient secoué le pays, en 1954 (5,7 sur l'échelle de Richet) et en 1994 (5,4).
Plus récemment, un séisme de magnitude 4,3 avait endommagé le réseau électrique de la capitale, en 2005.
Et, en 2008, l'île avait connu trois secousses ( de 4,3 sur l'échelle de Richter) en seulement 13 jours.
• Depuis plusieurs années, déjà, les scientifiques haïtiens et américains signalaient régulièrement la crainte d'un puissant séisme à venir et alertaient les pouvoirs publics pour qu'ils prennent les dispositions nécessaires. Pour autant, pratiquement aucune construction de l'île n'a été édifié en conformité avec les normes anti-sismiques réglementaires. Preuve de la vétusté: en novembre 2008,l'effondrement d'une école a fait 103 morts et 150 blessés dans la banlieue de Port-au-Prince. Et, à chaque catastrophe naturelle, des milliers d'habitations s'écroulent.
En 1998, le passage de l'ouragan George tue plus de 200 Haïtiens.
En 2004, l'ouragan Jeanne - accompagné d'inondations et d'importantes coulées de boue -balaie une partie du pays, principalement dans les Gonaïves, au nord de l'île. Bilan : plus de 3.000 morts et 100 fois plus de sinistrés.
En 2007, le sud de l'île est victime d'importantes inondations à la suite de pluies torrentielles.
Lors de la seule année 2008, quatre ouragans ou tempêtes tropicales, Fay, Gustav, Hanna et Ike, ont frappé successivement le pays faisant plus de 800 morts, dont plus de la moitié dans la seule ville des Gonaïves, au nord du pays, et environ un million de sinistrés. Quelque 100.000 maisons avaient été endommagées.
Les ravages de la tempête Ike
• La déforestation du pays est directement mise en cause. La coupe incontrôlée et systématique des arbres par le gouvernement depuis des décennies favorise en effet considérablement l'écoulement des eaux lors d'une catastrophe naturelle.
La déforestation expose l'île
http://www.youtube.com/watch?v=4cyGqzgJd3MTonton Macoute est le terme utilisé pour désigner enHaïti, les membres de lamilice paramilitaire des « Volontaires de la Sécurité Nationale » (VSN) créé à la suite d'un attentat contre le présidentFrançois Duvalier, le29 juillet 1958[1]. Elle sera ensuite employée par son fils et successeurJean-Claude Duvalier.
Le nom de Tonton Macoute doit son origine au personnagefolklorique du vieux paysan haïtien, qui portait un costume bleu et rouge et un grand sac en bandoulière appelé « macoute ». Dans la tradition haïtienne, ce personnage est devenu l'équivalent ducroque-mitaine, duPère Fouettard ou duBonhomme sept-heures qui effraie les enfants.
Destinée à assurer la protection rapprochée du président, cette milice de plusieurs milliers d’hommes répondait à l'idée de Duvalier de faire de chaque Haitien un défenseur de la « Révolution ». Ses membres, ne touchant aucun salaire, firent de l'extorsion et du crime organisé leur moyens de subsistance[2]. Ils se sont fait rapidement une sinistre réputation en raison des violations graves desdroits de l’homme dont ils se sont rendus coupables contre les opposants politiques et les populations civiles (viols, tortures, meurtres, arrestations arbitraires).
L’extrême violence de ses membres et le recours auxsuperstitions favorisaient l'arbitraire du régime de Duvalier et muselaient toute tentative d'opposition dans la population.
Après la chute de la dictatureduvaliériste, l'expression « macoutisme » sera employée pour désigner les régimes politiques qui s'appuient sur lacorruption, tout en faisant usage de la violence contre les opposants et les civils. D'une manière plus générale, le macoutisme s'applique aussi à une forme de terrorisme institutionnel.
Le duvaliérisme désigne le régime mis en place enHaïti par le dictateurFrançois Duvalier dit «Papa Doc», arrivé au pouvoir après unputsch en1957, et poursuivi par son filsJean-Claude Duvalier, dit «Baby Doc» entre1971 et1986.
Il se caractérise par une politique répressive, l'interdiction des partis d'opposition, le règne de l'arbitraire et unautoritarisme qui s'appuie sur une partie de l'armée et unemilice paramilitaire, les Tontons Macoute. Sous la présidence de Jean-Claude Duvalier, ce régime s'orienta vers la corruption et l'incompétence.
Le terme de duvaliérisme est encore utilisé pour désigner des méthodes utilisées par certains responsables haïtiens.
Né à Port-au-Prince d'une famille originaire de Martinique[1], il suit sa scolarité au Lycée Pétion où il obtient son diplôme de fin d'études secondaires en 1928. Il s'inscrit ensuite à l'École de médecine de Port-au-Prince, puis commence à pratiquer dans les régions rurales. Il s'attire alors la faveur des populations pour son aide à la lutte contre le typhus, le pian et d'autres maladies de l'extrême pauvreté. Il y gagnera aussi son surnom de « Papa Doc ». En 1939, il épouse à Pétionville Simone Ovide, une infirmière que l'on appellera plus tard Maman Simone, avec laquelle il aura trois filles, Marie-Denise, Nicole et Simone, et un fils, Jean-Claude.
Duvalier fréquente à cette époque l'ethnologue Lorimer Denis, spécialiste du culte vaudou et militant de la cause noire. Il partage ses idées, qu'il développe dans les articles qu'il écrit pour des revues nationalistes comme Les Griots. Il y défend notamment l'idée que la lutte des classes, en Haïti, s'illustre par l'opposition entre les Noirs et les Mulâtres, et que les premiers sont appelés à diriger le pays au détriment des seconds.
Duvalier s'appuie sur les relations de Lorimer Denis pour rencontrer Daniel Fignolé avec lequel il participe à la fondation du Mouvement des Ouvriers Paysans en 1946 dont il devient secrétaire général. Sa popularité dans les campagnes et son introduction dans les milieux politiques incitent le président Dumarsais Estimé à le nommer en 1946 directeur de la Santé Publique. En 1949, il devient ministre de la Santé Publique et du Travail. Après s'être opposé au coup d'État de Paul Magloire, qui renverse Estimé en 1950, il est poussé à l'exil et s'engage dans l'opposition.
Profitant de la chute de Magloire et de l'amnistie décrétée en 1956, il se porte candidat à la présidence de la République dans un climat d'agitation sociale et d'instabilité politique : entre décembre 1956 et juin 1957, cinq gouvernements provisoires se sont succédé, le parlement a été dissous et des factions de l'armée continuent à s'affronter[2].
Duvalier fait campagne avec un programme, populiste qui vise à flatter la majorité afro-haïtienne en s'appuyant sur une stratégie raciste « pro-négritude » (ou « noiriste ») opposée à l'élite des mulâtres. Les élections sont organisées le 22 septembre 1957 par le général Kébreau, président du Conseil Militaire du Gouvernement. Duvalier est élu avec 69,1 % des voix, son principal adversaire Louis Déjoie ne recueillant que 28,3 %.
Consolidation du pouvoir [modifier]Dix mois après son accession au pouvoir, en juillet 1958, François Duvalier doit affronter une tentative de coup d'État. Il réagit en instaurant l’état de siège et en exigeant du Parlement l’autorisation de gouverner par décrets (31 juillet 1958). Il écarte de l'armée les officiers qui ne lui sont pas fidèles, interdit les partis d’opposition et mène une politique de répression. Avec l'aide du chef de la police Clément Barbot, il organise la milice des Volontaires de la Sécurité Nationale, plus connue sous le nom de ses membres, les Tontons macoutes. Ce groupe paramilitaire de 5 000 à 10 000 membres, inspiré des chemises noires de l'Italie fasciste, ne touche aucun salaire, mais vit de l'extorsion et du crime organisé[3].
En 1959, alors qu'il est soigné à l'hôpital pour une crise cardiaque, un commando tente de débarquer sur l'île. Le chef de la police secrète, Barbot, fait alors appel à la marine américaine pour empêcher l'opération. Sitôt rétabli, Duvalier fait emprisonner Barbot, qu'il soupçonne de vouloir prendre le pouvoir, et l'accuse de complot contre l'État. Barbot sera finalement assassiné par les Tontons macoutes en 1963 avec ses deux frères et d’autres compagnons.
En quelques années, Duvalier devra faire face à une dizaine d'attentats, de tentatives de renversement et d'invasions. Il en tire parti à chaque fois pour renforcer son image de défenseur de la patrie, éliminer ses adversaires et durcir son pouvoir personnel. Il asservit l'armée, entretient la corruption, supprime les libertés civiles et institutionnalise la terreur : massacres, exécutions sommaires, pillages et viols deviennent le quotidien du pays[4].
S'appuyant sur le climat de guerre froide et sur le cas de la révolution cubaine, il n'hésite pas à exploiter la peur du communisme pour justifier la répression et obtenir le soutien des États-Unis. Le 25 juin 1960, il prononce à Jacmel un discours qui met en relation l'orientation politique de son régime et l'aide américaine[5].
En avril 1961, deux ans avant la fin de son mandat, il réécrit la Constitution et organise une élection présidentielle à candidat unique. Il obtient 1,32 million de voix, et aucun vote contre. Réélu pour un autre mandat de six ans, il prononce la dissolution du Parlement. En réaction à l'opposition de l'église catholique, il expulse plusieurs prêtres, l'archevêque de Port-au-Prince, Mgr Poirier, et deux évêques, ce qui lui vaut son excommunication en 1961. Trois ans plus tard, il expulse les jésuites[6].
Culte de la personnalité [modifier]Pour échapper à toute incertitude électorale, Duvalier se proclame président à vie en juin 1964. Libre de toute opposition, ses adversaires ayant été éliminés ou exilés à l'étranger, il modifie les couleurs du drapeau haitien, qui devient noir et rouge au lieu de bleu et rouge, impose l'affichage de son portrait dans les rues, les bâtiments publics et les établissements scolaires[7]. L'exil des cadres politiques, administratifs et techniques, le détournement des ressources de l'économie haïtienne mène le pays à la faillite, le PIB chutant de 40 % entre 1960 et 1970[8].
En 1966, Duvalier reprend contact avec le Vatican et obtient le pouvoir de nommer la hiérarchie catholique haïtienne. Perpétuant un nationalisme noir, il réussit ainsi à renforcer son emprise sur l'île par le contrôle des institutions religieuses.
Parallèlement, il ranime les traditions du vaudou, les utilisant pour consolider son pouvoir : il prétendait être lui-même un hougan et a délibérément modelé son image sur celle du Baron Samedi pour se rendre encore plus imposant. Il portait souvent des lunettes de soleil et parlait avec un fort ton nasal associé au Lwa. À la mort de John Fitzgerald Kennedy, il déclara que l'assassinat était la conséquence d'un sort qu'il lui avait jeté.
En 1970, atteint par la maladie, il désigne comme successeur son fils de 19 ans, Jean-Claude Duvalier. Il meurt quelques mois plus tard, le 21 avril 1971, après 13 ans et demi de pouvoir absolu. Jean-Claude Duvalier, qui sera surnommé « Bébé doc », lui succède dès le lendemain.
Quinze ans après sa mort, en 1986, quand tombe le régime des Duvalier, le tombeau de Francois Duvalier est saccagé par des manifestants qui déterrent son corps pour le battre rituellement.
Jean-Claude Duvalier, dit « Baby Doc » ou « Bébé Doc », né le 3 juillet 1951 à Port-au-Prince, fut président dictateur d'Haïti de 1971 à 1986 après le décès de son père, François Duvalier, dit « Papa Doc ».
À 19 ans, il devenait ainsi le plus jeune chef d'État au monde. Son règne fut marqué dans les premières années par une volonté de détente et d'apaisement, « Baby Doc » donnant quelques gages de bonne volonté démocratique. Il rétablit les relations du pays avec les États-Unis et la République dominicaine et son mandat vit la reprise de l'aide internationale à destination d'Haïti.
Mais dès la fin des années 1970, il revint à des méthodes de gouvernement plus répressives, et bâillonna à nouveau la presse. Le 27 mai 1980, il se maria avec Michèle Bennett Pasquet, une jeune mulâtresse de la haute-bourgeoise haïtienne, qui lui donnera deux enfants. En 1985, sous les pressions de la communauté internationale, via la Constitution adoptée en cette même année, il institua le poste de premier ministre.
En février 1986, sa politique et les difficultés économiques du pays le forcèrent à prendre la fuite face à une insurrection populaire. À bord d'un avion de l'US Air Force[1], il quitta l'île pour s'établir en France sans avoir jamais obtenu officiellement l'asile politique[2]. Il s’exila avec une fortune évaluée à 900 millions de dollars extraite des caisses de l’Etat haïtien, soit une somme alors supérieure à la dette externe du pays. Malgré les demandes répétées, il ne fut jamais livré à la justice de son pays. La famille Duvalier avait pourtant détourné à son profit 80 % de l’aide économique versée à Haïti, mais constituait en ce temps une précieuse alliée pour ses amis Occidentaux dans la lutte contre le « péril communiste ».[3]
En 2004, il a annoncé son intention de rentrer en Haïti et de s'y présenter à l'élection présidentielle, annonce qui est restée sans suite.
Cet article liste les chefs d'État haïtiens (présidents de la République, gouverneurs, empereurs, rois) depuis la proclamation de l'indépendance le 1er janvier 1804.
Sommaire [afficher] |
# | Nom | Début mandat | Fin mandat | Notes |
- | Jean-Jacques Dessalines | 1er janvier 1804 | 22 septembre 1804 | Gouverneur général |
# | Nom | Début mandat | Fin mandat | Notes |
1 | Jacques Ier | 22 septembre 1804 | 17 octobre 1806 | Empereur |
Après la mort de Dessalines deux de ses généraux se disputent le pouvoir : Alexandre Pétion et Henri Christophe. Ce dernier, élu « president de la République» de 28 décembre 1806 au 27 janvier 1807, n'est jamais entré en fonction, et se replie à Cap-Haïtien. Il s'impose alors dans le nord. Pétion resté à Port-au-Prince est reconnu « président » dans le sud. Le pays est alors scindé en deux.
# | Nom | Début mandat | Fin mandat | Notes |
- | Henri Christophe | 17 octobre 1806 | 28 décembre 1806 | par intérim |
- | Henri Christophe | 28 décembre 1806 | 27 janvier 1807 | élu mais non assermenté |
# | Nom | Début mandat | Fin mandat | Notes |
- | Bruno Blanchet | 28 janvier 1807 | 10 mars 1807 | par intérim |
1 | Alexandre Pétion | 10 mars 1807 | 29 mars 1818 | Président de la République |
- | Jean-Chrisostôme Imbert | 29 mars 1818 | 30 mars 1818 | par intérim |
2 | Jean-Pierre Boyer | 30 mars 1818 | 26 octobre 1820 |
# | Nom | Début mandat | Fin mandat | Notes |
Henri Christophe | 17 février 1807 | 28 mars 1811 | Président de l'État |
# | Nom | Début mandat | Fin mandat | Notes |
Henry Ier | 28 mars 1811 | 8 octobre 1820 | Roi |
Après le suicide d'Henri Christophe, Jean-Pierre Boyer envahit le nord et reconstitue l'unité du pays.
Réunification [modifier]# | Nom | Début mandat | Fin mandat | Notes |
2 | Jean-Pierre Boyer | 26 octobre 1820 | 13 mars 1843 | |
3 | Rivière Hérard | 13 mars 1843 | 3 mai 1844 | |
4 | Philippe Guerrier | 3 mai 1844 | 15 avril 1845 | |
5 | Jean-Louis Pierrot | 15 avril 1845 | 1er mars 1846 | |
6 | Jean-Baptiste Riché | 1er mars 1846 | 27 avril 1847 | |
- | Céligny Ardouin | 27 avril 1847 | 1er mars 1847 | Président du Conseil des secrétaires d'État |
7 | Faustin Soulouque | 1er mars 1847 | 26 août 1849 |
# | Nom | Début mandat | Fin mandat | Notes |
2 | Faustin Ier | 26 août 1849 | 15 janvier 1859 |
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